Décollage

Après avoir résolu les problèmes techniques pour lancer Star Citizen, me voilà dans mon habitation, paré à décoller.

Il me tarde, depuis le temps, de quitter Area 18 …

Je m’équipe d’une box de transport pour pouvoir prendre des affaires, je sors de mon habitation, ascenseur, petit passage pour chopper une arme ou deux, un chargeur, et je file à mon vaisseau de prêt en métro.

Une fois le vaisseau réservé, je monte au hangar, j’ouvre le vaisseau, me place aux commandes et fait chauffer les moteurs.

Les aiguilleurs ont dû bien se marrer à voir le vaisseau faire des pirouettes dans le hangar, le temps que je pige comment maîtriser la bête et qu’il fallait que je demande l’ouverture dudit hangar pour pouvoir sortir :) .

Une fois les checkpoints passés, et encore quelques pirouettes, me voilà enfin hors de la gravité: l’espace est grand ouvert devant moi …

Bon, où je vais donc bien pouvoir aller ….

Il faut que j’utilise le “quantum travel” pour rejoindre la station Bajini Point d’Arc Corp, mais où est foutu ce satané quantum travel dans cette casserole qui me sert de vaisseau ???

Après quelques essais, je dois concéder que les ingénieurs qui ont mis au point le tutoriel d’autoformation ton échoué, il y a trop de bugs, et je me vois contraint de l’abandonner pour sortir d’une boucle redondante :(: Me voilà donc lâché dans l’espace sans avoir terminé ma formation, je me sens bien moins serein.

Fort heureusement, le canal interstellaire d’aide me file quelques infos importantes et les principes de base. Suite à quoi j’arrive bien à effectuer les sauts quantiques, et plusieurs landings (tldr: bah oui , en français, atterrir, c’est pour la terre, alunir pour la lune, mais je ne trouve de nominatif générique pour se poser…) . Mais il faut avouer que parfois il faut se battre avec les commandes pour que le site d’arrivée réponde correctement pour donner le droit de se poser et d’entrer au hangar: la dernière fois que je me suis posé sur Area 18, il m’a fallu me poser “à la sauvage” car on ne m’a jamais répondu, et quitter les commandes “à la punk” pour aller dormir.

On verra bien au réveil si je me retrouve avec une prune de fourrière …